Les gîtes

Il n'a pas été facile de se rendre au premier gîte; pourtant j'avais un GPS (Les Mascareignes). Mais il était tard, il y a beaucoup de petites rues, très étroites et très pentues sur l'île, avec ou sans nom. Nous nous étions mis d'accord avec les propriétaires pour qu'ils viennent nous chercher au Crédit Agricole de Saint-Paul. Nous y étions et eux aussi, mais pas le même, eux à la succursale et nous à un petit distributeur; le portable étant déchargé, nous n'avons pas pu nous joindre rapidement. Nous nous sommes retrouvés au gîte à plus de 11 heures du soir.

Pour les autres, il n'y a pas eu (heureusement) autant de recherche. Nous avons essayé d'y arriver vers 17 heures, ça nous laissait le temps de prendre une douche, de faire le compte-rendu, de revoir les valises avant de passer à table.

Les chambres étaient grandes ou petites, à l'étage ou en rez-de-chaussée, calmes ou moins calmes (gîte près d'une route passante, chambre à l'étage au-dessus de la salle à manger avec des équipes de course de voiture qui se lèvent tôt et qui parlent fort en déjeunant, cloisons pas très épaisses avec des voisins qui se lèvent tôt pour faire le Piton de la Fournaise alors que nous ne pouvons pas), confortables en tout cas. A chaque fois, dans un cadre séduisant. La moins agréable aura été la chambre d'hôtel la dernière nuit (clim indispensable, mais bruyante, chambre étroite et sans frigo : nous avions emporté une demi bouteille de champagne pour fêter nos 40 ans de mariage, il était tiède mais nous l'avons bu quand même).

                                                                 vues depuis la chambre des 1er et 2e gîtes

une partie du gîte "crabe sous la varangue": pas bien quand il pleut comme cette nuit-là (nous étions dans le bâtiment principal, ouf!)

   varangue pour profiter du soleil couchant dans ce gîte (notre chambre était la première, tout à gauche à l'étage)